Dossier / Declinazioni del rischio
La mise à profit du risque chez Maurice Ravel : une démarche surréaliste ? L’exemple de "Gaspard de la nuit" (1908) et de "L’Enfant et les sortilèges" (1925)
Pubblicato
gennaio 3, 2024
Parole chiave
- Surréalisme,
- néoclassicisme,
- expérimentations,
- comparatisme,
- analyse
Come citare
Gonnard, H. (2024). La mise à profit du risque chez Maurice Ravel : une démarche surréaliste ? L’exemple de "Gaspard de la nuit" (1908) et de "L’Enfant et les sortilèges" (1925). Il Castello Di Elsinore, 1(89), 13-22. https://doi.org/10.53235/2036-5624/89
Copyright (c) 2024 Henri Gonnard
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Abstract
Cet article aborde Gaspard de la nuit (1908) et L’Enfant et les sortilèges (1925) de Maurice Ravel en mettant en résonance un extrait de chacune de ces œuvres – respectivement «Le Gibet» et le «Préambule féerique» – avec les prises de risque mais aussi l’exigence du mouvement surréaliste. C’est en effet avec un art consommé que le compositeur y mène des expérimentations insolites et périlleuses. Leur résultat se révèle ainsi fort éloigné du néoclassicisme sous la bannière de laquelle le musicien est d’ordinaire rangé.
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